La cour d’appel de Paris retient la discrimination dont a été victime l’employé d’un salon de coiffure en raison de son orientation sexuelle.
Un coiffeur a été embauché en qualité de coiffeur, par contrat à durée indéterminée assorti d’une période d’essai de deux mois. Souffrant, il s’absente une journée et reçoit, par erreur, un SMS provenant de sa supérieure hiérarchique indiquant "Je ne garde pas [l’employé], je le préviens demain (...) Je ne le sens pas ce mec. C’est un PD, ils font tous des coups de pute".Le lendemain, la rupture de sa période d’essai lui est notifiée. Son (...)
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