Des insultes, injures et le jet de dosettes de café dans la direction du salarié présument un harcèlement moral.
M. X. a pris acte de la rupture de son contrat de travail aux torts de l'employeur, alléguant notamment des faits de harcèlement moral.Dans un arrêt du 9 février 2010, la cour d'appel d'Amiens a rejeté la demande de M. X. tendant à obtenir le paiement de dommages et intérêts pour harcèlement moral, injures et manquements de l'employeur à ses obligations.Les juges du fond ont retenu que si les diverses tâches effectuées par le salarié, qu'il s'agisse de (...)
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