Le licenciement des salariés pour avoir tenu des propos privés sur Facebook.
Trois salariés de la société A. échangent, depuis leur domicile et sur leur page privée Facebook, des propos sur leur hiérarchie, critiquant en particulier leur directeur des ressources humaines. Après que l'entreprise ait eu connaissance de ces échanges, les trois salariés en cause sont renvoyés pour faute grave, au motif que leurs propos constituent un "dénigrement de l'entreprise" et une "incitation à la rébellion". Soutenant que la conversation restait (...)
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