L’ingérence dans l’exercice du droit à la liberté d’expression d'Alain Soral, condamné pour injure raciale et contestation de crime contre l’humanité, était nécessaire dans une société démocratique.
Alain Bonnet, connu sous le nom d’Alain Soral, a été condamné par les juridictions françaises pour injure publique à caractère racial envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur origine ou de leur appartenance à une ethnie, (...)Cet article est réservé aux abonnés