Les consorts X., qui effectuaient des travaux de rénovation de leur maison, ont passé commande "d'une cuisine équipée et d'une salle de bains" auprès de M. Z., auquel ils ont versé des acomptes. Reprochant à ce dernier de n'avoir pas satisfait à ses obligations, ils ont mis M. Z. en demeure de leur restituer les acomptes. Dans un arrêt du 18 mars 2008, la cour d'appel de Chambéry a refusé de prononcer la nullité des contrats conclus entre M. Z. et les (...)
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