Les juges du fond doivent apprécier l'existence d'un harcèlement moral à partir de l'intégralité des éléments de faits produits par le salarié et leurs réponses apportées par l'employeur.
Un salarié a été engagé en qualité de directeur, en janvier 1996, au sein d'une association. Le salarié a été placé en arrêt de travail pour maladie à compter d'octobre 2014 et a repris ses fonctions, en temps partiel thérapeutique, en mai 2015. Le 2 avril 2015, (...)Cet article est réservé aux abonnés