La Cour a jugé que la désignation nommément de l'accusé qui avait conduit à sa stigmatisation dans une procédure à laquelle il n'était pas partie viole droit au respect de la réputation d'un individu.
Un enseignant d'origine espagnol, accusé de harcèlement par l'une de ses collègues, puis condamné, a demandé à accéder au dossier et à se constituer partie à la procédure, arguant qu'il avait eu connaissance du jugement par la presse locale. La Cour constitutionnelle a déclaré irrecevable le recours en amparo formé par le requérant au motif que celui-ci n'avait pas dûment justifié la portée constitutionnelle de son grief.Par conséquent, il a introduit (...)
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