La cour d'appel de Versailles a condamné Monoprix à verser 750.000 euros à un syndicat pour ne pas avoir respecté un jugement annulant un accord sur le travail de nuit dans ses magasins.
Le 22 novembre 2006, un accord collectif sur le travail de nuit dans les magasins Monoprix ouvrant à la clientèle jusqu'à 22 heures a été signé avec deux syndicats minoritaires, malgré l'opposition du syndicat majoritaire. Le syndicat majoritaire a saisi le tribunal de grande instance qui a déclaré que l'accord sur le travail de nuit était nul et a dit que Monoprix disposait alors de quatre mois pour renégocier l'accord. Sans cet accord renégocié, Monoprix (...)
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