Les objectifs d'un salarié étranger écrits dans sa langue sont applicables même s'il travaille en France.
Une employée de nationalité américaine a été engagée par une société française. Par lettre, la salariée a pris connaissance de la rupture du contrat de travail suite au reproche fait à son employeur concernant un plan de rémunération variable qu'elle estimait inacceptable. Après avoir obtenu l'octroi de provisions à valoir sur sa créance par jugement, la salariée a saisi la juridiction prud'homale de diverses demandes. Le 15 janvier 2014, la cour (...)
Cet article est réservé aux abonnés