La méthode d'évaluation des salariés choisie par l'employeur doit correspondre aux exigences d’objectivité et de transparence posées par le code du travail.
Des organisations syndicales et le comité d’entreprise d'une société ont dénoncé la mise en place d’un système d’évaluation, lui reprochant d'imposer au notateur le classement des salariés dans cinq groupes, du plus au moins performant, K, P +, P, P -, I, selon des pourcentages prédéterminés et non des critères objectifs de compétences. Selon les syndicats, si le ranking, qui consiste à classer les salariés en différentes catégories en fonction de (...)
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