Une règlementation nationale ne peut pas prévoir que l’indemnité d’un travailleur intérimaire, à la cessation de sa mission, au titre des congés payés non pris et des vacances correspondantes, sera inférieure à celle à laquelle il peut prétendre dans la même situation, au même poste et pendant la même durée que s’il avait été recruté directement par l’entreprise.
Deux travailleurs ont conclu, avec une agence d’intérim, des contrats de (...)Cet article est réservé aux abonnés