Après que le Conseil d'Etat ait annulé les ordonnances du juge des référés rejetant les demandes de suspension de permis de construire, le tribunal administratif de Paris, par deux jugements statuant sur le fond, annule un des deux arrêtés par lesquels le maire de Paris avait autorisé la restructuration de l'ensemble des bâtiments du site de la Samaritaine.
Par un arrêté du 17 décembre 2012, le maire de Paris avait autorisé la société des G. à démolir et reconstruire, dans le cadre de la restructuration de l'ensemble immobilier de la Samaritaine, le groupe de bâtiments dit "Ilot Rivoli" ainsi que le groupe de bâtiments dit "Ilot Seine" ou "Ilot sauvage". Deux associations avaient saisi la justice administrative de deux requêtes dirigées contre les deux permis de construire.Par deux ordonnances du 4 juillet 2013, (...)
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