La dérogation permettant le survol de Paris par des taxis volants ne préjudicie pas de manière grave et immédiate un intérêt public.
Deux associations ont demandé au juge des référés du Conseil d'Etat de suspendre l'exécution d'un arrêté portant création d'une zone interdite temporaire dans la région de Paris, au sein de la région d'information de vol de Paris, en tant qu'il exonère de l'interdiction qu'il édicte les taxis volants ayant reçu (...)Cet article est réservé aux abonnés