La sanction de révocation infligée par le maire d'une commune à un agent ayant prononcé des menaces de mort à l'encontre de plusieurs cadres de la mairie est disproportionnée, le principal intéressé ayant présenté ses excuses rapidement.
En présence de son supérieur et de divers agents, un agent public a menacé d'attenter à la vie de trois personnes qu'il tenait pour responsable de la dégradation de ses conditions de travail. Par un arrêté, le maire (...)Cet article est réservé aux abonnés