L’écriture inclusive ne méconnaît pas la loi du 4 août 1994 relative à l’emploi de la langue française.
L’association FRancophonie Avenir (AF.R.AV.) a demandé au tribunal d’annuler la décision implicite par laquelle la maire de Paris a rejeté sa demande tendant au retrait de deux plaques commémoratives apposées dans l’enceinte de l’hôtel de Ville et gravées en écriture dite "inclusive".Elle soutient que l’écriture dite "inclusive" (...)Cet article est réservé aux abonnés