Le secret professionnel n’est pas respecté et il est fait automatiquement grief à l’avocat lorsqu’un de ses biens a été saisi mais n’a pas été mis sous scellés.
Une femme a porté plainte et s’est constituée partie civile suite à la réception par son employeur d’un courriel déplaisant dont elle nie être l’auteur. Une enquête a permis de déterminer que le téléphone d’une avocate pouvait être impliqué. Celle-ci dément les faits en (...)Cet article est réservé aux abonnés