Les images pornographiques d’une jeune femme publiées sur un site internet sans son autorisation et avec des données la concernant ont été détruites sur le fondement de la loi Informatique et libertés de 1978.
N’ayant pas de moyen de subsistance en arrivant à Paris, une jeune femme a accepté de participer au tournage d’une vidéo à caractère pornographique. Par la suite, elle s’est mariée et a eu deux enfants. Un jour, elle constate que la vidéo est publiée sur un site internet sans son consentement. Elle s’adresse alors à la société de production qui lui confirme avoir retiré la vidéo. Néanmoins, quelques années après, elle se rend compte que la vidéo (...)
Cet article est réservé aux abonnés