La cour d’appel de Limoges réévalue le préjudice moral subi par une lycéenne confrontée à la diffusion sur les réseaux sociaux de vidéos intimes d’elle à son insu : outre une chute de ses résultats scolaires, une situation de honte et d’angoisse nécessitant un suivi psychologique, le juge prend en considération la longue et fastidieuse procédure nécessaire afin d’effacer toutes traces des vidéos en cause.
Par un jugement du 27 mai 2021, le (...)Cet article est réservé aux abonnés