Quand la marque seconde n'est pas la reproduction à l'identique de la marque antérieure, il faut rechercher un risque de confusion entre les marques et l'appréciation de la similitude visuelle doit être portée entre les signes tels que déposés.
Dans un arrêt du 15 octobre 2010, lors d'un litige portant sur une contrefaçon de marque où la marque seconde n'était pas la reproduction à l'identique de la marque antérieure, la cour d'appel de Paris a indiqué qu'il convenait de rechercher s'il existait un risque de confusion entre les marques.Elle a rappelé que le risque de confusion doit être "apprécié globalement en se fondant sur l'impression d'ensemble produite par les deux marques au regard de leurs (...)
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