En 1960, Mme X. a autorisé M. et Mme Y., à demeurer à titre gracieux dans une maison lui appartenant. Les époux Y. ont continué à occuper les lieux après le décès de la prêteuse, survenu le 1er août 1962. M. Jean Jacques B., héritier de celle ci, "leur a donné congé" par une lettre recommandée du 27 juin 2000 pour loger son fils, M. Jean Louis B.. Le tribunal, constatant le besoin imprévu et pressant de reprendre le bien ordonne l'expulsion des époux Y. (...)
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