Aucune règle n'impose que les décisions juridictionnelles portent mention de la convocation des parties à l'audience.
Mlle B. et M. A. ont demandé l'annulation d'un arrêté par lequel le maire d'une commune a fait opposition à leur déclaration de travaux portant sur la reconstruction d'un mur d'un appentis accolé à un bâtiment leur appartenant, soutenant que cette opposition, qui leur a été notifiée le 24 février 2005, était tardive, la déclaration de travaux ayant été complétée le 21 janvier 2005. Le tribunal administratif de Grenoble, par un jugement du 13 mars 2008, (...)
Cet article est réservé aux abonnés