La personne qui impute à un magistrat l'existence d'une collusion constante avec le Président de la République, insinuant que le magistrat en aurait été récompensé par un avancement, est diffamatoire car ces propos portent atteinte à l'honneur ou à la considération du magistrat, un tel comportement étant susceptible d'être pénalement réprimé.
Un magistrat a porté plainte et s'est constitué partie civile devant un juge d'instruction du chef de (...)Cet article est réservé aux abonnés