Relaxe d'un mineur qui avait reconnu avoir diffusé sur Snapchat une vidéo de décapitation, le contenu de la vidéo en cause n’ayant pu être précisément déterminé.
A la suite d'un signalement le mettant en cause comme pouvant être à l'origine de la diffusion sur l'application Snapchat d'une vidéo de décapitation, un mineur a été poursuivi pour apologie publique d'un acte de terrorisme.Le procureur de la République a relevé appel du jugement du (...)Cet article est réservé aux abonnés