Les propos pour lesquels l'opposant au maire a été condamné pour diffamation n'ont pas dépassé les limites admissibles de la liberté d'expression d'un opposant politique, dans le contexte d'une campagne électorale marquée par une polémique concernant un projet de lotissement. C'est à tort que les juges du fond ont refuser à leur auteur le bénéfice de la bonne foi.
A l'occasion des élections municipales de 2020, le journal télévisé de France 3 a (...)Cet article est réservé aux abonnés