Le droit de l’Union s’oppose à la réglementation hongroise selon laquelle la personne, qui se voit retirer la protection internationale suite à une atteinte à la sécurité nationale, ou son représentant ne peuvent accéder au dossier qu’a posteriori, sur autorisation et sans se voir communiquer les motifs fondant la décision.
Dans un arrêt du 22 septembre 2022 (affaire C‑159/21), la Cour de justice de l'Union européenne juge que la directive 2013/32 (...)Cet article est réservé aux abonnés