La condamnation civile de l’auteur d’un livre historique en raison d’expressions jugées diffamatoires par les juridictions italiennes n’a pas violé la Convention.
Un ressortissant italien, auteur d’un ouvrage publié en 2005 qui racontait, de son point de vue d’enfant à l’époque, l’épisode marquant de l’exécution de 43 prisonniers de la République sociale italienne (RSI), faits survenus peu avant la chute des fascistes italiens du Centre et du (...)Cet article est réservé aux abonnés