Une exposition à des fins artistiques dénommée "Our Body", ouverte depuis le 12 février 2009, présentait 17 cadavres de Chinois, entiers ou disséqués. Le 30 avril 2009 la cour d'appel de Paris a estimé qu'on pouvait exposer de vrais cadavres humains à des fins pédagogiques mais à condition de fournir la preuve de leur origine. Elle a considéré que ce n’était pas le cas en l’espèce et a donc confirmé la décision du juge des référés qui avait (...)
Cet article est réservé aux abonnés