Un médecin ayant dû opérer une patiente deux jours à la suite d'une première opération, même pour soigner des dommages importants, manque à son devoir d'information s'il ne transmet pas une information claire, loyale et appropriée à la patiente.
Une dame âgée s'est fait opérer de la cataracte par un premier médecin, le 16 février 2015. Au cours de l'intervention, elle a souffert d'une luxation des fragments cristalliniens. Un second médecin, rétinologue, l'a donc opérée le 18 février 2015. Au cours de cette seconde intervention, la patiente a souffert d'une désinsertion irienne avec hémorragie. Divers dommages à cet œil s'en sont suivi.La patiente a demandé au tribunal de grande instance de (...)
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