Un recours en annulation d’un arrêté d’admission en qualité de pupille est irrecevable dès lors qu’il a été engagé après le placement de l’enfant aux fins d’adoption.
Est née, d'un accouchement sous le secret une enfant prénommée B. Le conseil général de Vendée a pris un arrêté d'admission en qualité de pupille de l'Etat. Le 15 octobre 2016, l'enfant a été placée en vue de son adoption et Mme X., grand-mère biologique du mineur, a exercé un recours en annulation contre cet arrêté, soutenant n'avoir pris connaissance de l'existence de l'enfant que le 8 septembre 2016. Par un arrêt du 11 octobre 2017, la cour d’appel (...)
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