La Cour de cassation juge qu’une gestation pour autrui (GPA) réalisée à l’étranger ne fait pas à obstacle, à elle seule, à l’adoption de l’enfant par l’époux de son père.
Par quatre arrêts rendus le 5 juillet 2017, la Cour de cassation juge qu’un enfant né d’une gestation pour autrui (GPA) réalisée à l’étranger peut être adopté par l’époux de son père et que l’acte de naissance peut être transcrit sur les registres de l’état civil français en ce qu’il désigne le père, mais pas en ce qu’il désigne la mère d’intention, qui n’a pas accouché. Dans l’une des affaires jugées par la Cour de cassation le (...)
Cet article est réservé aux abonnés