L’autorisation donnée à l’épouse de conserver le nom marital après le divorce est conditionnée à la justification d’un intérêt particulier lié à la conservation de cet usage.
Un jugement prononce le divorce de M. X. et de Mme Y. La cour d’appel d’Aix-en-Provence a rejeté la demande de l’ex-épouse tendant à l’autoriser à conserver l’usage du nom marital, constatant que M. X. s'opposait à la conservation de l'usage de son nom par son épouse. La Cour de cassation, dans une décision du 20 avril 2017, rejette le pourvoi de l’arrêt d’appel qui, estimant que l’ex-épouse ne démontrait pas le bénéfice s'attachant, pour (...)
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