La Cour de cassation précise que le préjudice résultant de la perte pour la victime par ricochet de l'assistance que lui apportait la victime directe d'un acte de terrorisme constitue un préjudice indemnisable selon les règles du droit commun.
La veuve d'une victime de l'attentat terroriste commis le 13 novembre 2015 au Stade de France a contesté l'offre d'indemnisation qui lui a été présentée par le Fonds de garantie des victimes des actes de (...)Cet article est réservé aux abonnés