La cour d’appel de Paris retient que représenter des enseignes concurrentes par des pigeons dans une publicité comparative constitue un dénigrement.
A la rentrée 2018, l’enseigne Leclerc avait lancé une campagne publicitaire où figuraient trois pigeons, et à chacun d’eux était attribué le nom d'un service de livraison concurrent et un pourcentage. Ce comparatif avec un pigeon n’a pas plu à Monoprix qui a assigné l’enseigne en (...)Cet article est réservé aux abonnés