Le banquier prestataire de services d'investissement n'est pas, en cette seule qualité, tenu d'une obligation de conseil à l'égard de son client, qu'il soit ou non averti, sauf engagement contractuel en ce sens ou disposition légale contraire.
Un particulier a souscrit, par l'intermédiaire d'un courtier, un contrat d'assurance-vie en unités de compte. Il a placé dans le cadre de ce contrat la somme de 45.734,71 €, provenant d'un prêt remboursable in fine, d'une durée de 120 mois au taux nominal annuel de 6 %, remboursable par 119 échéances d'un montant mensuel de 228,67 € et une dernière échéance d'un montant de 45.734,71 €, le coût du crédit étant de 27.517,05 €, ce prêt lui ayant été (...)
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