La mise en place du chômage partiel ne rend pas irrésistible la crise sanitaire, par suite la force majeure ne peut pas être caractérisée pour rompre un contrat de travail à durée déterminée.
Un salarié a été engagé en qualité de pilote de ligne par une société. A la suite du confinement général décidé le 16 mars 2020, empêchant les voyages aériens, l’employeur a rompu le contrat de travail à durée déterminée le lendemain pour force (...)Cet article est réservé aux abonnés