Un copropriétaire, qui a voté en faveur de certaines des décisions prises lors d'une assemblée générale, n'est pas légitime à demander l'annulation de cette assemblée.
Une SCI, propriétaire de lots dans un immeuble soumis au statut de la copropriété, a assigné le syndicat des copropriétaires en annulation de l'assemblée générale, en invoquant le non-respect du délai de convocation prévu à l'article 9 du décret du 17 mars 1967. En appel, elle a subsidiairement sollicité l'annulation de quinze résolutions. Le 19 octobre 2017, la cour d'appel d'Aix-en-Provence a déclaré sa demande irrecevable.Elle a retenu qu'un (...)
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