Le droit de la victime d'un accident de la circulation à obtenir l'indemnisation de son préjudice corporel ne saurait être réduit en raison d'une prédisposition pathologique lorsque l'affection qui en est résulté n'a été provoquée ou révélée que du fait de l'accident.
Un homme a été victime d'un accident de la circulation. Se plaignant d'avoir, à la suite de la collision, perçu un "flash" et ressenti des décharges dans les membres inférieur et (...)Cet article est réservé aux abonnés