Commet une faute inexcusable le piéton qui, sous l'emprise de stupéfiants, traverse à pied, de nuit, de manière intempestive, sans raison valable, une voie de grande circulation munie de glissières de sécurité ininterrompues, en l'absence d'éclairage public, alors même qu'un automobiliste l'avait exhorté à ne pas rester sur la chaussée.
Alors qu'il se déplaçait à pied, un homme a été heurté par un véhicule en circulation. Il est décédé au cours (...)Cet article est réservé aux abonnés