Le principe de non-ingérence du banquier dans les affaires de son client.
Un chèque de 877 euros a été émis par la société P. après falsification, il a été présenté au paiement pour un montant vingt fois supérieur et à l'ordre d'un autre bénéficiaire que celui auquel le chèque était destiné, et payé par la banque de la société. Le compte de la société se trouvant débiteur au-delà de montant du découvert autorisé, la société a assigné la banque en restitution de cette somme avec intérêts à compter de la date de (...)
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