Fait preuve d'un comportement fautif donnant lieu à réparation pour préjudice distinct de celui résultant du licenciement, l'employeur qui soumet le salarié à un interrogatoire éprouvant de neuf heures le jour de la remise de sa lettre de mise à pied et qui obère l'avenir de celui-ci en portant atteinte à sa réputation et à son honneur.
Un salarié a fait l'objet d'une mise à pied conservatoire puis d'un licenciement pour faute lourde. Il a (...)Cet article est réservé aux abonnés