Censure de l'arrêt d'appel qui dit irrecevables les demandes de l'épouse et associée du gérant au titre du préjudice moral sans rechercher si elle ne fondait pas sa demande sur la violence du comportement de son époux à l'occasion de sa gestion de la société, et notamment sur l'embauche de plusieurs de ses maîtresses, l'emploi de mots durs et blessants ou encore la confiscation à son avantage de toute sa fortune personnelle et familiale.
Mariés sous le (...)Cet article est réservé aux abonnés