Le créancier qui ne peut saisir la part de son débiteur dans l'indivision successorale est fondé à provoquer le partage de celle-ci.
Mme X. a été condamnée à payer une certaine somme à une banque, qui a garanti sa créance par une inscription d'hypothèque judiciaire sur les droits indivis entre Mme X., sa soeur et sa mère suite au décès de leur père et mari. La banque les a fait assigner en ouverture des opérations de comptes liquidation-partage de la succession.Dans un arrêt du 19 janvier 2009, la cour d'appel de Douai a fait droit à la demande de la banque, retenant que "la carence du (...)
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