Même reposant sur des éléments faux, une publicité comparative qui n'est pas susceptible de modifier le comportement du consommateur peut être considérée comme licite.
L'exploitant d'un hypermarché Carrefour a fait réaliser par une société un relevé de prix au sein de deux hypermarchés Leclerc aux fins d'établir une publicité comparative. Cette publicité a été publiée dans le journal Ouest-France.L'exploitant du Leclerc a fait dresser un (...)Cet article est réservé aux abonnés