Replacés dans un contexte de forte médiatisation du dossier, les propos tenus par l'avocat en réponse à des journalistes, se bornant à commenter des éléments de l'enquête en cours déjà médiatisés, n'ont pas outrepassé les limites de la liberté d'expression dans l'exercice des droits de la défense ni violé le secret professionnel et le secret de l'enquête.
Un avocat inscrit au barreau de Besançon a été mandaté par un prévenu pour assurer (...)Cet article est réservé aux abonnés